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La culture d'entreprise toxique, premier motif de démission aux Etats-Unis 

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Avec le Covid, les Américains n'ont jamais été aussi nombreux à claquer la porte de leur entreprise. Si la quête d'une meilleure rémunération reste un paramètre important, la culture d'entreprise prend une place prépondérante. Et les salariés ne veulent plus se laisser marcher sur les pieds.

Les entreprises qui ne reconnaissent pas et ne récompensent pas les performances de leurs salariés ont des taux d'attrition plus importants.
Les entreprises qui ne reconnaissent pas et ne récompensent pas les performances de leurs salariés ont des taux d'attrition plus importants. (fizkes/Shutterstock)

Par Neïla Beyler

Publié le 12 janv. 2022 à 14:26Mis à jour le 12 janv. 2022 à 15:18

Les employeurs qui déplorent la fuite de leurs talents feraient bien de se regarder dans le miroir. C'est ce qui ressort d'une étude publiée par l'école du MIT à Boston dédiée au management. Son principal enseignement : une bonne rémunération n'est plus suffisante pour retenir un salarié, qui fait du désormais du bien-être au travail sa priorité absolue.

Plus de 4,5 millions d'Américains ont claqué la porte de leur entreprise au mois de novembre, un record. Ce phénomène, baptisé « The Great Resignation » (« la grande démission »), s'observe depuis le début de la pandémie de Covid. Et les chercheurs se penchent, depuis, sur les raisons de ces défections en masse.

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